Sunday, 31 January 2010

La sexualité féminine : perpétuelle source de soucis

Le but de ce blog est, bien sûr, de promouvoir de bons rapports entre deux grands pays, voisins de part et d’autre de la Manche (ou, comme nous disons ici, du Canal Anglais).

Il est donc désolant de découvrir que de nouvelles controverses sont venues perturber l’harmonie qui règne entre nos pays, du moins hors de la saison du championnat des six nations.

Un groupe de scientifiques à King’s College, Université de Londres, a publié il y a trois semaines les résultats d’un an de recherche sur l’existence du ‘point G’, fameuse ou peut-être mythique zone érogène chez la femme. Leur conclusion ? Navrante : c’est une ‘idée subjective’.

Chez les scientifiques français, c’est le tollé général. Comment peut-on accepter une idée si morne ? Un groupe se réunit à Paris, sous la présidence du gynécologue Sylvain Mimoun, et dénonce la froideur britannique.

Car il est évident qu’au fond il ne s’agit pas ici de science, mais de l’incapacité chez les hommes de ce froid et gris pays d’éveiller la moindre passion chez la femme. N’oublions pas l’avis de cette grande leaderine de la France, Edith Cresson – un anglo-saxon sur quatre est homosexuel et même les autres ne partagent pas le romantisme, l’esprit de chevalerie et les vues éclairées des français sur les femmes.

Convergence harmonieuse entre deux nations ? Encore des progrès à faire, me semble-t-il.

No comments:

Post a Comment